Bonjour Patrick,

C'est plusieurs morceaux de musiques que je télécharge en vous écrivant. Je n'avais pas pensé à ce morceaux de musique, merci. Mais voilà que depuis que j'ai écouté, je ne cesse de chercher les différentes interprétations d'un même morceaux de musique. Je les écoutes, sans me lasser. Encore, merci.

J'ai cette impression commune que cette musique écrite, l'interprète se l'approprie à chaque interprétations, à nouveau. S'agirait-il là d'une hypertrophie langagière, ou de quelque chose d'analogue ? Je ne sais pas mais vu sous l'angle réducteur de la neurobiologie ou de la psychanalise liées aux sciences de la médecine, toutes choses ne peut que se référer à une pathologique. Vous comprenez que dans certain contexte je pense aussi le langage ne fait référence qu'à lui-même.

Autres points de vue géographiques à partir duquel un morceaux du corps de la vallée est découvert, accessible à la vue. J'aime cela, "l'abscence c'est là présence vide des mots". Sur l'écran c'est indéniable. Aucune lettre n'est liée à une autre; les espaces blancs glissent entre des croches noires et rondes, en symbiose avec le fond blanc du papier.

les creux d'entre les mots ne résolvent rien, ils témoignent de l'impossibilité d'empêcher l'abscence de s'écouler à travers ce que j'écris; est-cela la présence vide des mots ?

Cette fois, comble d'analogie du parcours emprunté, le chien piaffe; à cette différence pret que c'est vers l'extérieur que son désir tente de m'extirper.

Souhaitons une prochaine fois
amicalement,
xavier

Répondre